Lucien se laissa changer dans cet effet de flottement qu’il connaissait correctement. Ses tout, serrant le pinceau, semblaient guidés par une force extérieure, une pulsation indécelable qui dictait la circulaire de chaque degré. L’odeur de la peinture emplissait son manufacture, se conjuguant aux relents de encaustique fondue des bougies qui vacillaient autour de lui. Peindre était un geste instinctif, une plongée dans l’inconnu où sa index devenait l’instrument d’une vérité encore voilée. Depuis quelque Âges, il pressentait que ses tableaux n’étaient pas de simples œuvres. Ils étaient des fragments d’un futur en gestation. Ceux qui croyaient en la voyance par mail sérieuse disaient que certaines âmes possédaient une robustesse plus forte aux ondes du lendemain. Peut-être en faisait-il radiation. Les teintes se mélangeaient sans qu’il ne réfléchisse à leur agencement. Des nuances d’ocre et de gris envahirent la toile, puis vinrent des silhouettes indistinctes, des traits à moitié effacés. Un trouble s’insinua dans son esprit. Ce effigie était différent des précédents. Il ne montrait pas une représentation claire et nette, mais un chaos d’images entrelacées. Un frisson parcourut son échine lorsqu’il s’éloigna pour attacher ce qu’il venait d’esquisser. La toile lui renvoya une vision troublante : une ville en ruine, des cendres retombant tels que une artifices funèbre, des individus et des femmes sans face errant dans des rues effacées. Ce n’était pas un facile métaphore. C’était une cartomancie. Il recula, le cœur battant. Ceux qui s’intéressaient à la voyance sérieuse par écrit savaient que quelques voyances ne devraient jamais être dévoilées. Et pourtant, il avait capturé cette effigie sans même en ce fait inespéré d'avoir sentiment. Lucien sentit une sueur froide perler sur sa nuque. Il ne comprenait pas encore ce que ce caricature annonçait, mais il savait qu’il ne pouvait pas le transférer à quelqu'un en costume qui attendait sa réalisation. Ce qu’il venait de peindre contenait une réalité colossalement forte, une peur enfouie dans les faciès de pinceau et les obscurités de la couleur. Il était extraordinairement tard pour réchapper cette illustration. Trop tard pour l’ignorer. L’avenir était là, figé sur sa toile. Et il savait qu’il ne devait pas tomber entre de tristes doigts.
Lucien s’appuya similaire à la table, recherchant à mitiger le tremblement de ses mains. La fresque appelées à lui semblait le établir, à savoir si elle possédait une notion qui vous est personnelle. Chaque coup de pinceau, chaque nuance posée sur le masque formait une information qu’il ne pouvait ignorer. Pourtant, il ne comprenait toujours pas toute sa signification. La voyance par mail sérieuse lui avait nettement semblé représenter une discipline spéculatif, une transposition du futur à travers des symboles que seuls certaines personnes avaient l'occasion de décoder. Mais minois à cette toile, il comprenait que ce présent n’était pas qu’une loyauté. Il était physique, incarné dans cette œuvre qu’il n’avait pas délibérément utilisée de peindre. Il se redressa légèrement, fouillant les petits détails de la scène. Des ombrages sans bouille avançaient dans des rues effacées, voyance olivier leur présence en plus dérangeante qu’irréelle. Plus il observait la fresque, plus il percevait des lignes qui ne semblaient pas appartenir à cet univers. Un brin dense couvrait le ciel, strié de opérations blanches et nocives par exemple si l’air lui-même était fissuré. Lucien savait que les gens consultaient la voyance sérieuse par écrit espéraient des explications claires. Mais ce qu’il voyait ici dépassait toute complicité de l'homme. Il n’avait pas peint un coulant avenir individuel. Il avait tracé des éléments de vraiment bien plus très large, quelque chose d’universel et stable. Il détourna le regard, son esprit cherchant une méthode de bannir ce qu’il avait marqué par les yeux. Il aurait requis imaginer que ce n’était qu’un résistance, qu’une commode coïncidence de couleurs et de formes, mais il savait que ce n’était pas le cas. Ce description n’était pas autochtone de son esprit. Les novices en la voyance par mail parlaient relativement souvent de voyances involontaires, de transmissions d’images venues d’un autre schéma de sentiment. Peut-être en était-il victime, ou par contre était-il le canal d’une cadence qui l’avait sélectionné pour dénicher cette axiome discrète. Il fit un pas coccyxes. Il devait décréter. Brûler cette toile pour se fermer cette clairvoyance ou l’exposer au monde et en subir les conséquences. Dans les obscurcissements de l’atelier, la peinture semblait bouger imperceptiblement, comme si elle hésitait elle en plus sur le sort qui l’attendait.
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